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INFO METEO :

Température  extérieure : 21°C
Temps brumeux, pluvieux puis ensoleillé
Humidité: 80%
Navigation très très agitée
Nos commentaires :

          Notre arrivée sur Burnie nous donne un sentiment mitigé. Le port ressemble plus à un dépôt de cargaison qu'à un port de tourisme. Le temps est maussade, il pleut un petit peu.
          Sans grand enthousiasme, ce matin-là, nous partons à la découverte de la Tasmanie.
          Sortis de la ville, notre regard sur l'environnement devient de plus en plus intéressé. Nous sommes surpris par la beauté de la côte découpée et même déchirée par endroits. Le ciel s'éclaircit et les couleurs changent comme par magie.
          Première halte: une fabrique de fromages, on teste à loisirs. Fromages très bons, c'est un cheddar aromatisé à ceci ou cela. Tout le monde s'extasie; mais nous de penser: où sont nos bons fromages français?
          Nous découvrons, à nouveau, de magnifiques paysages. L'agriculture étant le moteur de l'île , nous traversons champs de blé (et oui, c'est l'été ici), prairies de moutons, chevaux, énormes troupeaux de vaches. La Tasmanie qui bénéficie d'un climat tempéré (25°C l'été- sauf cet été il y a eu 42°, du jamais vu - 10°C l'hiver) est considérée comme le grenier de l'Australie.
          A nouveau, petite halte, pour le thé (rite sacré) avec scones et confiture de fraise (succulent).
          Nous traversons plusieurs villages et à chaque fois, toujours la même impression: sommes-nous à l'autre bout du monde ou n'avons-nous pas seulement traversé la Manche? Tout est so british, les maisons, les parcs, les serres, les magasins, les pubs. On annonce, même, la prochaine fête de la Saint Patrick. Tout ceci n'a rien d'anormal, tous, ici, en Tasmanie, sont les descendants d'immigrés britanniques.
          Notre déjeuner est prévu chez un viticulteur qui nous a préparé un barbecue (barbie en anglais australien). Devant la terrasse où nous déjeunons, les vignes s'étendent à perte de vue sur les coteaux ensoleillés. Nous avons goûté du riesling, du cabernet et du pinot noir, avec une préférence pour ce dernier. Tout se passe à merveille, si ce n'est notre grande difficulté à comprendre ce qu'on nous dit. L'accent australien est épouvantable, il s'agit souvent d'un mélange d'anglais et d'argot des bagnards qui avaient élu domicile sur l'île. Notre seule consolation: les Américains semblent avoir, aussi, quelques difficultés de compréhension.
          Le chemin du retour, dans la vallée de Tamar, qui nous emmène le long du fleuve (du même nom) se jetant dans la mer de Tasman, nous enchante par ses paysages verdoyants et accidentés.


Remarques :

          Le démon de Tasmanie :
                   Nous ne l'avons pas rencontré (heureusement pour nous, il s'agit d'un carnassier féroce qui ne laisse aucune chance à ses proies), il est en voie de disparition, frappé par une maladie défigurante (affreux, vu en photo).

          Equipement du bus :

                   Regardez l'équipement avant du bus (voir diaporama). Il est équipé d'un pare-kangourous et non pas buffles.

          Les chevaux :

                   
          Les chevaux sont équipés de robes pour les protéger des UV qui à cette latitude sont très nocifs et attaquent leur pelage.






  
 ça recommence, la mer de Tasman ne nous convient pas du tout.
Les creux étaient magnifiques !
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Escale Tasmanie - Reportage
23/02/2009