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Le voyage de Montaigu à Miami s'est passé sans encombres. Et, comme l'a dit Jadm, nous n'avons même pas eu de turbulences pendant le voyage.
A Roissy, nous avons eu un douanier qui a fait du zèle, non pas avec les médicaments (là, tout était prévu, ordonnances et documents du médecin . . .) mais avec l'informatique. On nous a fait tout déballer. Pas uniquement les ordinateurs, mais aussi les appareils photos, caméra. Jusque là, tout pouvait être normal, mais ensuite il a aussi demandé de sortir les chargeurs, les câbles de raccordements, les cartes SD, les clés USB enfin tout. . . quelle peur de perdre quelque chose à ce moment là !
Bon, une fois la douane enfin passée, on nous annonce 2 heures de retard pour l'avion qui arrivait du Brésil. Ensuite les 10 heures de vol, sans problème.
Mais, à l'arrivée, ça recommence : contrôle douanier. Nous pensions qu'ils avaient allégé les contrôles, mais que nenni . . . c'est pire que jamais. Nous étions pourtant allés aux US l'année dernière, avec prise de photo et empreintes digitales. Et bien, ils ne conservent rien en mémoire, malgré les passeports électroniques. Donc, on recommence tout à chaque fois. Quelle corvée ! Enfin, 2 heures pour passer la douane américaine.
Ouf ! ça y est, on est dehors.
Chaleur étouffante quand nous sommes sortis dehors, mais on s'est vite adaptés.
Le lendemain, nous avons fait une visite de la ville en bus. Puis une promenade en bateau pour la visite du port, d'où partent les plus beaux paquebots du Monde (Le Queen Mary II vient de partir pour un tour du Monde).
Pendant la visite des canaux, nous avons pu admirer de magnifiques villas appartenant à la Jet Set américaine, russe et européenne.
Bien évidemment Maxime s'est régalé de hamburgers qui ne pouvaient pas entrer dans sa bouche !
Balade dans Miami Beach par une soirée très douce.
Le 20 janvier, enfin the D Day, nous embarquons sur notre paquebot, le Royal Princess. Tout se passe comme prévu. Chambre magnifique, personnel sympathique. . . sauf qu'au moment où le bateau quitte le port, il nous manque une valise. De plus, ce n'est pas le moment des réclamations puisqu'il faut avant tout faire les exercices de survie.
Enfin, une heure plus tard, nous récupérons l'égarée. Ouf ! enfin tout va bien.
Mais là, la suite nous dira que tout ne va pas aussi bien que cela . . .